PETER GABRIEL – II – 1978

Bon album, qui oscille entre des pièces assez intimistes et mélancoliques (Mother Of Violence, acoustique et magnifique, Indigo et Home Sweet Home), des titres simples qui bougent bien (D.I.Y, Animal Magic et Perspective) et des morceaux plus élaborés à connotation progressive (On The Air, White Shadow, excellent, un des ses meilleurs morceaux à mon avis, et l'étrange Exposure, avec le Sieur FRIPP lui-même en guest !) Et puis cette voix, toujours aussi exceptionnelle, expressive, envoûtante... Note : 16/20.

PETER GABRIEL – III – 1980

J'aime mois que le II celui-ci... Bien qu'il y figure quelques incontournables aussi ! Intruder, un peu bizarroïde, aux ambiances lourdes et robotiques. Le déroutant et hypnotisant No Self Control, avec ses percussions tribales, on commence ici à sentir quelques intrusions de World Music. I Don't Remember, mémorable, éléphantesque, qui arrache tout. Family Snapshot, à l'atmosphère épique, intense, et assez complexe. Encore pas mal, mais le tournant s'amorce... Note : 13/20.