Je suis en majeure partie du même avis que Rockwood sur les albums suivants : The poodles, Great White, Primal fear.
Par contre dire que le disque d'Epica c'est du vide, c'est nawak. De plus je ne voix pas trop où tu entends des voix plaintives ou de bronchiteux colériques en phase terminale (d'ailleurs j'en ai jamais entendus). Une mini chro bien sommaire et qui catalogue bien vite la musique d'Epica.
Sinon même remarque que Max, concernant ta phrase.

Pour les autres albums, j'ai pas encore écouté. Bien que le dernier Helloween me semble bien fade pour le peu que j'en ai entendu (environ la moitié).

Absolument pas d'accord bien entendu. Je n'ai jamais fait d'amalgame entre les groupes "à chanteuse", expression que j'ai souvent qualifiée de stupide ici même. Les Poodles font du hard US / heavy mélodique très pop, Gamma Ray du speed metal / speed mélodique. Rapport ? Aucun.
Nightwish fait du metal symphonique. Epica fait la même chose avec cet album à rallonge. Nightwish utilise de plus en plus l'alternance voix masculine grave et voix lyrique, ce que fait Epica avec l'alternance grommellements néanderthaliens du primate et les interventions de Simone t'es bonne.
Alors oui, il y a des différences, mais des tas de passage de "The obsessive devotion" (par exemple) pourraient se retrouver sur un album de Nightwish. Le phrasé "une note sur chaque temps" de "Menace of vanity" est typiquement Nightwishien également. Des trucs comme ça y en a des tas tout au long de cet insupportable disque. D'où mon rapprochement. Tu limites ce dernier au chant parce que c'est le seul que TU as effectué.



Le glaireux t'emmerde. Ça c'est le premier point. Mais note bien que pour le reste je ne te reproche rien.

Deuxième point, je trouve mon inspiration assez fournie, voire brillante quand je la compare à toute la production écrite dans ce domaine, que ce soit sur le papier ou sur le web. d'autant que je n'écris quelque chose sur le blog QUE quand j'ai "l'inspiration" et l'envie de le faire, et pas pour un chèque à la fin du mois.

Troisième point, ma "crédibilité" n'est pas à acheter. C'est au lecteur de l'estimer via les chroniques longues, les 5-lignes étant là pour contrebalancer mes dithyrambes incessantes dans le reste du blog.
Et moi ce que je trouve "cheap" c'est de ne pas massacrer des disques pour continuer à recevoir des CD promos... ce qui n'est pas mon cas puisque je chronique ce que je veux, avec la régularité que je veux, sans aucune autre contrainte que celles que je me fixe. Finalement je me trouve top crédible.