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 L'achat des CDs 
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Crimson Idol
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Message L'achat des CDs
Je me suis rendu compte d'un truc: dans le topic 'vos derniers achats', il n'y en a que très peu qui mentionnent la manière et le lieu de l'achat (internet, un disquaire, la RNAC ?). Perso je continue de fréquenter les disquaires car j'aime trop l'objet et le coté impulsif de l'achat et lié à l'objet et à l'envie de l'avoir tout de suite. Mais la solution internet semble aussi la plus efficace et economique. Donc je me suis dis que j'allais faire un petit sondage avec le mode d'achat, et puis des idées se sont greffées à ça et j'ai fini par penser à un petit questionnaire:

1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?


2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?


Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

3- Le prix.

Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?


4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

Voilà, j'ai fouillé et j'ai jamais vraiment vu le sujet abordé comme ça. En tout cas c'est à vous.


15 Juin 2009 13:04
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?
L'album est indispensable, si c'est ça que tu entend par "cd". Après, pour ce qui est de la différenciation du forma, j'achète généralement en cd pour d'évidentes raisons pratiques, mais quand je trouve un LP à un bon prix pour un disque masterisé à l'époque de l'analogique, je me l'offre toujours. Reste donc l'objet en général, indispensable pour deux raisons.
Premièrement, le plus subjectif, j'ai un côté collectionneur : j'amasse les disques, les bouquins, comme pas possible. J'aime posséder les objets autant que voir l'ensemble qu'ils forment. Un bibliothèque/discothèque, c'est un peu comme un scanner du cerveau.
Deuxièmement et beaucoup plus important, apprécier une œuvre d'art demande un effort d'attention et le respect d'un minimum de conditions d'appréciations : tant qu'un artiste ne dira pas qu'il a masterisé son disque pour le forma mp3, je ne vois pas comment juger autrement que sur l'album (et on en revient au choix numérique/analogique selon la période). En outre, quand on a payé, quand on a l'objet, on écoute pas de la même manière. On fait attention, on lit les noms des morceaux en fonction de la manière dont ils sont "mis en page", on a éventuellement les paroles, ou toute une esthétique qui peut nous influencer plus ou moins. S'ajoute également tout un rituel de passage du disque qui a son rôle à jouer.
Et ceci nous amène à la pochette : indispensable donc, qu'elle soit vraiment réfléchie par le groupe et face parti du tout qu'est l'album, ou un quelconque moyen de couvrir le disque bricolé à la va vite, ça reste toujours intéressant.
Tout ceci, cela dit, vaut pour mon approche, intellectualo-critique d'art. Si on aborde la musique comme seule distraction, ces arguments ne sont plus adaptés.

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?
Il y aura toujours des collectionneurs, des riches, des fans (etc), d'un côté, et des musiciens intellos, ou passionnés de techniques (etc), de l'autre. Donc l'objet perdurera. Je pense que selon les intentions des musiciens, le type de publiques, et quelques autres facteurs, les formats vont se diversifier. On retrouvera plus de vinyles pour des trucs masterisés en analogiques ou pensés en deux faces (ou autre idée encore), les cds seront peut être supplantés par un forma du type blue-ray mais le principe restera le même, un équilibre se trouvera peut être avec une spécialisation de certaines productions (singles, premier album, etc) en "virtuel", mais rien n'a de raisons de disparaitre. La part de chaque format diminue, mais comme le publique augmente, que les couts tendent à devenir plus accessibles, je suppose qu'il sera d'ici peu (si ce n'est pas déjà le cas) une affaire de choix politique et esthétique de choisir comment publier ou consommer la musique : d'un côté, l'objet de plus en plus travaillé pour les "artistes", de l'autre le blue-ray best of de 4h ou la plateforme de téléchargement (payante ou non) pour les gens qui écoutent sans entendre.

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter préférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?
Gibert/FNAC : pour certaines nouveautés dont le prix n'est pas plus élevé que sur le net, et essentiellement pour les promos. J'y vais sans rien chercher de particulier, je passe des plombes plongé dans les bacs à moins de 10 euros, et je repart avec quelques disques.
Internet : pour un disque que je veux précisément, en cherchant le prix le plus bas possible tout bêtement. Ca va donc être les promos amazon, marketplace, priceminister. Généralement la méthode que j'applique dans mes périodes "spécialisées" : quand j'essaye de couvrir un artiste, ou une scène précise, un genre ou une période, etc.
Discaires : pour une simple raisons de prix, j'achète à des petits disquaires de deux manières. D'abord, pour les vinyles d'occas' quand ils ne sont pas trop cher (même approche que les soldes à la fnac). Et puis via Priceminister et marketplace, pour ceux qui ont des prix sympa (disons qu'à un euro près je préfère un disquaire français qu'un bradeur ricain, malheureusement Jussieu Musique à qui je commandai beaucoup a fermé).

Et le point de vue du consommateur... ben c'est comme les format, chacun fait ce qui lui plait. C'est plutôt la meilleure méthode du point de vue du musicien qui tend à avoir une certaine importance. La suite donc.

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Je ne crache pas sur les vendeurs, mais plus on élimine d'intermédiaires, plus le musicien y gagne : c'est donc commander directement au label (ce que je fais très peu, je n'ai une visa que depuis quelques temps, et je n'aime pas trop multiplier les sites où commander) ou acheter aux concerts (j'essaye d'avoir 15 euros à claquer pour le disque quand je vois des "petits", genre C.R. Avery ou Jay Reatard, ces derniers temps). Cela dit, si en tant que mélomanes, on peut avoir une certaine volonté de pratiquer cela, je pense qu'il faut avant tout que musiciens et label prennent conscience du besoin de communiquer directement avec leur publique et travaillent pour encourager ce type d'achat "directe". Le travail d'objet sur Cybion est un bon exemple, ils ont fait un truc attractif ET une bonne comm' dessus. Je ne sais pas si ça a fonctionné financierement, mais ça me semble être une bonne approche. Sinon, C.R. Avery qui vendait son live pas encore sorti à 5 euros dans une pochette papier, discutait avec les gens tranquillement, c'est aussi la bonne approche en concert (il en a vendu une caisse quand même). Bref, si le fossé se creuse entre les "grands" dont tout le boulot extra-musical est géré par une équipe de pros et les "petits" qui font tout à la main sur le net, ça implique aussi que ces "petits" peuvent prendre un bien plus grand contrôle sur la manière de faire leur boulot. Je pense que ce sera l'évolution la plus importante de la musique dans les prochaines années, un marché à deux vitesses fonctionnement vraiment plus différemment qu'auparavant, mais peut être le moyen pour les "petits" de s'en tirer tout de même un peu mieux...

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?
Je vis à Poitiers, il n'y a qu'un disquaire, ultra spécialisé dans la collection et très cher. Donc si on ne cherche pas un bootleg ou un pressage rare, bref, ce qui ne traine pas forcément sur le net, pas la peine d'y mettre les pieds.

3- Le prix.
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?
Entre internet et les soldes permanentes, on peut acheter des classiques et des vieilleries à moins de 10 euros quand on veut, à la légère condition de ne pas être monomaniaque toujours à la recherche des trois mêmes disques. Pour les nouveautés, il y a encore des incertitudes, voir mes remarques précédentes sur les achats "directes". Les choses peuvent beaucoup évoluer. Cela dit, à voir les prix sur amazon et à la fnac, même si ça n'est pas encore systématique, on voit de plus en plus de disques sortir à moins de 15 euros (voir plus proche de 10 à l'occasion), et ça me semble un bon prix.

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?
Pas plus de 10 euros pour un vieux truc, pas plus de 15 pour une nouveauté. Ça ne varie qu'en fonction du nombre de disques pour le vieux truc (évidement un double ou un triple, ça me dérange moins de rajouter une paire d'euros).
Pour la nouveauté, faut voir. Si je suis impatient, si il y a une édition limité intéressante, si j'ai des sous, ça m'arrive d'avoir la flemme de patienter jusqu'à trouver l'album à un prix décent. Mais généralement, il suffit de moins d'un mois pour trouver un album à 10 ou 12 euros, donc je n'ai pas trop de problèmes.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?
J'achète ce qui m'intéresse. Donc je suppose qu'en dehors des nouveautés, ça signifie qu'il y a des liens entre les derniers achats et les prochains, une découverte va mener vers une autre au grès des lectures, découvertes de connexions et d'influences - comme je le disais, j'ai mes périodes. Mais n'est ce pas le cas de nous tous, qui sommes sensés nous intéresser à la musique un peu plus loin que la simple écoute puisque nous perdons notre temps à en parler sur un forum ?

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?
Je sais toujours ce que je peux dépenser, que ce soit quand je vais au resto, quand je fais mes courses, quand je fais le plein. C'est donc la même chose quand j'achète des disques, une équation assez basique entre mon crédit en banque et ce que le hasard de mon inspiration et de mes trouvailles met sur mon chemin. De manière générale, comme je sais que je trouve toujours quelque chose si je vais chez Gibert ou à la fnac, je me contente de n'y aller que lorsque j'ai de quoi acheter trois ou quatre disques.

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?
Non, quand j'achète, en général je sais pour quoi, j'ai déjà un intérêt au moins culturel ou collectionneur. Donc même si je déteste, le disque est là pour combler un trou dans une disco ou compléter la liste des trucs importants pour comprendre le schmilblick. Sur 2000 disques, il doit y en avoir une dizaine au grand maximum dont je pourrai me débarrasser. C'est chiant d'ailleurs ce côté collectionneur, ça prendre une place folle (et je ne vous parle pas des dizaines - peut être centaine - de bouquins "à lire un jour", dont quelques éditions rares, qui s'empilent partout, c'est une catastrophe).

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Je veux bien laisser Ziggy partir en envolées lyriques sur du black-métal norvégien en spandex léopard, mais Pet Sounds faut pas déconner.

En fait ton metal est à mon metal ce que mon café est à ton café.


Dernière édition par ZiGGy le 15 Juin 2009 14:43, édité 1 fois.



15 Juin 2009 14:33
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ZoSo a écrit:
1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

La pochette m'influençait "à l'époque" où j'ai pu acheter des albums quasiment "sur pochette". Dans tous les cas, moche ou pas, l'objet est indispensable. Et s'il est beau tant mieux.

ZoSo a écrit:
Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?

C'est inutile d'acheter. Mais le domaine lui même est inutile.
Pour moi un mec qui a un album en MP3, n'a pas l'album. Point barre.
La dématérialisation du produit me déprime. Cela dit, je m'en fous un peu j'ai actuellement acheté à peu près tout ce qui m'intéresse. Et comme mes lacunes et mes envies sont plutôt situées dans le passé je trouverai toujours mes CD (pour un bon moment en tout cas).

ZoSo a écrit:
2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

J'ai laissé tombé les disquaires quand j'ai découvert Holy Records (gain de 5 euros par album minimum et surtout le choix).
Et j'ai laissé tombé Holy quand j'ai découvert le marketplace d'Amazon (gain entre 5 et 10 euros par rapport à Holy). Si j'étais plus accro aux nouveautés, je passerai encore par HRecords par contre, parce que le metal européen est un truc un peu pointu pour Amazon en général et les prix pas intéressants.

ZoSo a écrit:
Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Aucune. Les artistes touchent un % du prix de base d'un album (qui est de 5 ou 6 euros). Donc eux touchent pareil. Pour des petits groupes si je peux commander directement chez eux je le fais (en punk surtout). Au moins je paye pas la retraite de Psacal Nègre.

ZoSo a écrit:
Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

CDLM. Toutes. La FNAC en premier (pas de prix, pas de choix, pas de service… ça a bien changé la Fnac). Par rapport au market place ou à Holy, personne ne tient la route sur le prix ou le service ou le choix.


ZoSo a écrit:
3- Le prix.
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

Tout est trop cher. Tout a toujours été trop cher, mais maintenant on peut se rattraper. Perso j'ai l'impression d'être Crésus quand je commence dix albums pour 70 euros. Avant j'en avais trois pour le même prix.

ZoSo a écrit:
Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Ma barre est passée à 10 euros. En dessous c'est "normal" ou "pas cher". Au dessus ça me fait chier (sauf nouveauté "pointue").

ZoSo a écrit:
4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

Depuis cinq ou six ans je n'achète que peu de nouveautés chaque année (une dizaine GRAND maxi, et ça tourne plutôt autour de 5 en hard / metal). Donc ma logique a été de me retourner vers le passé. Rachat de tous les albums que j'avais en K7 (ça c'est fait) et (re)découverte de trucs à côté desquels j'ai pu passer (MSG, Black Sab, etc.)

ZoSo a écrit:
Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Je ne pense plus en terme de budget : les disques ne coûtent plus rien maintenant.

ZoSo a écrit:
Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

Plus maintenant puisque je n'achète quasiment plus en aveugle. Mais ça m'arrive quand même de temps en temps. (ex : le dernier Running Wild…)

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15 Juin 2009 14:44
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

Passer des vinyls et cassettes fut déjà une petite révolution, rien que le son est le côté "durable" du support était franchement appréciable. Certes pour les pochettes c'est tout naze mais moins pire que les cassettes. Pour le son, là c'est une affaire de goût, mais il est vrai qu'un vinyl écouté sur du TRES bon matériel donne un rendu d'aussi bonne qualité que les cd (je parle pour les productions récentes) et possède un cachet unique (un effet d'ampli à lampe, les gratteux comprendront, tout chaud pour les productions plus anciennes). Certes un cd tout simple est aussi avenant qu'un vinyl à la pochette très moche mais si l'artiste fait un effort sur le packaging (voir le dernier Mastodon et sa pochette en 3 dimensions) et le contenu, je suis automatiquement attiré vers ce dernier et l'achat assuré. Par contre l'artwork et le packaging ne font pas la qualité ''musicale'' d'un album !!

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?

On à prédit la mort du vinyl et on le retrouve de nouveau dans les bacs des grandes enseignes, donc le cd à encore de beaux jours devant lui, surtout si les artistes et groupes font l'effort sur le packaging.

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

Personnellement j'aime le fait d'aller en boutique et de "trouver" l'objet tant convoité, mais de plus en plus, j'ai recours à l'achat en ligne, souvent pour une raison de coût.

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Aujourd'hui et demain je pense sincèrement que les artistes proposeront de plus en plus l'achat en ligne via leurs sites que ce soit en téléchargement légal ou support cd ou vinyl. Les maisons de disques deviendront des distributeurs et il est bien possible que des boites comme Amazon deviennent eux même les distributeurs privilégiés des artistes. Les enseignes tels que la Fnac, Virgin devront trouver un nouveau moyen de vendre leur matos mais devront avant tout revoir leur prix (ce qui entrainera bien sur la suppression d'emplois cela semble inévitable et tragique mais logique)

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

Guibert Joseph à Paris est pour moi le dernier bon vendeur en Metal (et même autres styles musicaux) et le Virgin des Champs Elysées !! Les petits disquaires spécialisés ayant quasi tous disparus
.

3- Le prix.
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

Les achats via le net sont le plus intérêssants, car en magasin c'est tout de suite plus de 15€ l'article voir 22 € (Fnac)

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Désormais payer plus de 15 € un cd me fait royalement chier, mais il m'arrive quand même de dépasser cette somme quelques fois pour des artistes auquels je suis fortement attaché, c'est pas raisonnable mais c'est comme ça.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

Aucune logique, ca me plait j'achète, même si ça prend plusieurs mois, selon mes finances !!

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Combien de fois ai je dû "reporter" un achat pour cause de finance ... mais bon, parfois l'achat est impulsif est même si c'est mal .... qu'est ce que c'est bon sur le moment lol

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

J'ai pas de souvenirs cuisants sur la question donc non (sauf un album de Manowar :D et DOD de qui vous savez) , mais on se lasse parfois plus vite de certains albums, le temps fait son oeuvre. Aujourd'hui avec la possibilité d'écouter à l'avance les albums on peut éviter bien des déconvenus !! Le temps où ceux qui achetaient tout ce qui sortait est pour ainsi dire révolu !

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15 Juin 2009 15:23
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?
Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?



Le cd est pour moi absolument indispensable, je n'ai un disque que quand j'ai le truc entre les mains avec boitier et livret, l'atwork n'a guère d'importance à mes yeux mais le mp3 ça n'existe pas pour moi, on a un disque quand on l'achete en vrai ou en cd ou en vynil, le reste c'est de la merde.
j'en achete encore pas mal et je vais continuer car j'aime ça, ça doit etre un peu fétichiste

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?
Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?


J'achete partout en fait, en magasin, sur le net (depuis peu, en fait depuis que les prix se cassent la gueule, mais je choisis, pour une non nouveauté, je vais au meilleur prix, j'ai payé trop cher assez de temps
meilleurs disquaires? chez moi aucun, juste le furet du nord de Lille, le reste pue la merde et coute la peau des couilles, enfin parfois je trouve des trucs pas chers grace a la betise de vendeurs qui n'y connaissent rien


3- Le prix.

Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?
Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?


Trop cher bien sur, le net fait faire de sacrés économies quand même, pour un cd de plus de 1 an ou 2, je refuse de dépasser les 8-10 euros, et ça marche pas mal, suffit d'être patient
pour une nouveauté simple, allez 15-16 euros, je peux monter pour un coup de folie, maiden ou le dernier dream

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?
Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

je suis tres impulsif, la preuve j'ai acheté le dernier strato juste pour la collection

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

rarement, j'ai pas revendu de disques depuis 10 ans

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15 Juin 2009 20:57
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

Il y a quinze ans j'aurais dit un objet HighTech a la fois beau et fonctionnel. Mais aujourd'hui l'objet CD en lui-meme est tellement banalisé et dépassé (du point de vue pratique) que c'est surtout ses defauts qui ressortent (encombrement, duree, faut se lever de sa chaise pour le mettre dans la chaine HiFi...). Néanmoins il reste le symbole et la preuve tangible qu'on a acquis le droit d'ecouter l'oeuvre (encore plus si c'est une version limitée). C'est aussi une source de haute qualité de l'oeuvre. Ca n'est pas rien.
Je n'ai jamais acheté de CD en fonction de la seule jaquette. J'ai pu hésiter 2/3 fois entre une version 'speciale' et la version de base mais plus en fonction de l'interet du contenu que du contenant.
Apres, il est evident que je prefere une jaquette qui en jette, ca rend l'album encore plus agreable. Une jaquette ratée gache un peu (genre le 'Night at the opera' de Blind Guardian par exemple).

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?

J'ai plus de 250 CDs originaux, dont ~2/3 de metal. Je ne me vois pas acheter des MP3 (immatériel, qualité aléatoire, DRMs, ...). J'aime bien toucher l'objet, avoir les paroles, des photos. Donc je continuerai a acheter des CDs jusqu'a trouver mieux meme si au final je les ecoute statistiquement de moins en moins, quantité oblige, et en général convertis en MP3 HQ sur mon PC (désolé...). Il y a 4/5 ans j'aurais bien vu des cles USB remplacer le CD (moins volumineux, plus de mecanique) mais aujourd'hui je ne vois pas trop si l''objet' a encore de l'avenir.


2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

J'aime toucher le produit quand je l'achete. C'est pourquoi je prefere chercher et acheter en grandes surfaces ou disquaires quand il est dispo plutot que sur Internet (meme si c'est un peu plus cher). Malheureusement c'est rare. A part en nouveautes (et encore), le choix et le renouvelement sont faibles dans les FNAC, Virgin & consorts. Il ne reste donc au final qu'Internet pour avoir ce qu'on veut. Je commande sur Amazon (ou un de ses partenaires). Il y a le choix et ca fonctionne bien. Mais un click ne remplace pas la recherche fébrile dans un bac... Dernièrement j'ai trouvé 2/3 trucs a prix imbattables en occaz chez Easy Cash (disques presque pas rayés en plus...).

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Je ne sais pas ce qui revient au final dans les poches de l'artiste et c'est bien dommage. C'est quand meme pour le remercier que j'achete sa musique (je ne pretends pas le faire vivre...). Un peu de transparence sur l'etiquette ne ferait pas de mal dans ce milieu aussi.


Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

S'ils y en a qui connaissent une boutique avec du choix dans la CUB de Bordeaux, je suis preneur. FNAC, Virgin, Espace culturel Leclerc, c'est vite limité.

3- Le prix.
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

En achat régulier les prix sur Internet sur clairement intéressant voire surprenant par rapport aux disquaires 'classiques'. A se demander justement ce qui va dans la poche de qui. Sinon les grands groupes sont en general abordables en nouveautés ou carrément bradés en ancienneté (> 3ans), il faut fouiller régulièrement dans les bacs. Pour les autres groupes, difficile de trouver a moins de 21 euros en disquaires. Cher ? pas cher ?


Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Pour un CD simple, sur internet, moins de 15euros, en disquaires, moins de 20. Au dela, tout dépend de mon envie d'avoir l'album. Je ne fais pas non plus la course au moins cher, j'ai heureusement les moyens et autre chose a faire.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

Il est rare maintenant que j'achete en aveugle (merci Internet et les MP3), a part mes valeurs sures bénéficiant de bonnes critiques. En général je vais acheter rapidement les nouveautés qui m'ont majoritairement accrochées en pré-écoute. Peu importe le prix. Etant assez difficile, c'est rarement plus de deux CDs par mois de toute maniere. Pour les accroches moyennes, je vais laisser murir quelques semaines/mois et finalement acheter si je trouve encore le CD chez un disquaire. Sinon Internet. Plus occasionnellement ou en periode de vache maigre je creuse un peu pour régulariser quelques vieilleries que j'ecoute de temps en temps. Pas que du metal d'ailleurs. J'ai des periodes de nostalgie pop/rock/newwave 80s. Un petit geste (tardif) pour l'artiste et un petit plaisir d'achat. Mais le CD tournera peu au final...

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

J'ai les moyens et des gouts restreints. Donc, tout depend sur quoi je tombe mais j'ai rarement acheté plus de 3 CDs en une seule semaine...

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?
Oui, en général des achats en aveugle ou trop précipités (Dream Theater - 6DOIT, Virus IV - DarkSun, Turilli - The infinite machintruc, ...). J'en ai revendu peu mais certains ont quand meme dégagé (Satriani - Crystal planet, ...). J'ai peine a me séparer de CDs que j'ecoute peu mais ou j'aime au moins 2/3 titres.

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15 Juin 2009 22:16
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Long Distance Runner
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un
album ?
Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?


Le format du boîtier de CD (cristal) sera difficile à remplacer : petit, empilable par 20 sans que ça se casse la gueule, facilement remplaçable si abîmé, mais je regrette que les cds (même les nouveautés) soient encore dans des boîtiers super cheap avec des picots qui se pètent, ou qui retiennent trop bien le cd, et les Super Jewel Box dont j'avais déjà parlé il y a un moment tardent à venir dans le metal alors qu'on commence à en trouver ailleurs.
Le CD en lui-même va affronter l'épreuve de sa tenue au temps, on verra ce que ça donnera, si les cds d'il y a 20 ans commencent à se détériorer en masse et si les maisons de disques répondent par un bras d'honneur comme à leur habitude (a contrario d'une partie des autres vendeurs de CD (rom en l'occurrence), qui permettent de retélécharger le contenu d'un cd détériore à partir de la clé-cd par exemple), le support pourra difficilement y survivre, mais sinon, le format est suffisamment convainquant en terme de durée et de qualité (les cds - ou blue ray - haute qualité n'intéressent réellement, malgré le marketing qui est fait autour, qu'une partie très réduite de la population.
L'artwork est limité par la faible taille de la pochette, et n'est plus aussi important (pour moi en tout cas) que le visuel d'un vynil, que l'imagerie du groupe de manière générale, ou que l'image d'un Tshirt.


2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?
Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Internet a offert une telle quantité de choix et une concurrence sur les prix tellement violente sur les prix que la majorité des mes achats se font là.
Je n'ai jamais (une seule fois de mémoire) commandé chez un vendeur vpc "traditionnel" comme Holy Record, qui ont des prix corrects à la base, mais qui ont des frais de port monstrueux, alors qu'Amazon ne facture rien. Par contre sur les metal market des festivals ces 3 dernières années, je suis reparti avec 5 cds en moyenne.
J'aime toujours aller "dans les bacs", c'est un peu un plaisir en soi, mais je n'achète pas si souvent que ça un album quand je vais dans un magasin.

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?
De mémoire, chaque fois que je suis sorti du Gibert de Lyon (celui du centre-ville), je suis ressorti avec quelque chose, idem à Dijon, par contre celui de Grenoble est nul, et je ne vois pas d'autres disquaires valables non plus d'ailleurs, y'a bien le backstage, mais c'est surtout niveau marchandising qu'il est pas mal, niveau CDs c'est pas le top.


3- Le prix.

Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?
Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Pour un neuf, c'est 15€, parfois plus si c'est un beau collector avec cd ou dvd bonus (genre digipack, dvd bonus et dédicacé, comme Human Equation qui m'a coûté plus que ça).
Dans les vieux, c'est beaucoup plus variable, et vicieux, y'en a que j'achète à 10€, 15€ s'il se trouve pas facilement, voire plus s'il est carrément rare, mais souvent je n'achète pas, pris dans la spirale du "c'est pas cher, mais c'est tout le temps pas cher, et ça finira encore moins cher", qui fait que je n'ai toujours pas acheté, par exemple, Rum Sodomy and The Lash, représentant permanent du bac à 7€.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?
J'ai (mentalement) une liste d'albums "à acheter", que j'essaye de réduire si je tombe dessus d'une manière ou d'une autre, mais sans urgence. Il y a aussi les nouveautés ou découvertes que j'essaye d'acheter rapidement.

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?
Je pense "budget" à l'unité, pas de manière globale, je peux commander la discographie d'un groupe à 8-9€ le cd, alors que dans les même conditions je n'achèterai pas une nouveauté à 18€.

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?
Il n'y a vraiment qu'un album que je regrette d'avoir acheté tant c'est une merde infâme et putride, c'est le 2eme Matmatah, et ça fait longtemps.
Depuis, pas de vrai regret, j'ai quelques trucs plus que dispensables, mais soit je les ai eu pour suffisamment peu cher pour que je puisse considéré l'achat valable en connaissance de cause (de mémoire, Load et Virtual XI à moins de 3€, too tough to die à 4€ et Blazon Stone à 1€) soit parce que c'était en pack avec un bon album à un prix correct pour un album unique (Consuming Impulse avec Testimony of the Ancients, Inside the Electric Circus avec Headless Children).

À part ça je regrette un achat quand je le vois à 7€ deux mois plus tard alors que j'en ai payé le double, ou quand il le ressortent avec des bonus, le top du top étant la combo que j'ai fait, quand 3 mois après avoir acheté Elements d'Atheist (bien difficile à trouver à l'époque) à 25€ d'occasion, ils annoncent la ressortie de l'album avec des bonus.
Et je regrette aussi quand je m'aperçois que j'avais déjà l'album :D

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L'art de la citation est l'art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-même.

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16 Juin 2009 1:45
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?


L'objet cd est indispensable, je ne peux plus me satisfaire de juste avoir les mp3. Le cd c'est une meilleure qualité d'écoute. Et puis un album qu'on a acheté, on se force un minimum à l'écouter pour lui donner sa chance, et on découvre parfois des perles que des simples mp3 ne peuvent pas montrer.
L'artwork compte beaucoup pour moi. J'aime bien quand la pochette et le livret soient soignés, même si ça n'a finalement pas d'impact sur la qualité musicale de l'album.

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?

J'espère que le cd a encore de beaux jours devant lui. On prédit souvent la fin précépité de l'objet. Mais dans les musiques spécialisés au moins (genre le metal, mais aussi le jazz, le funk,...), les fans sont encore nombreux à acheter les albums. Par respect pour l'artiste qui a fourni un travail, mais aussi pour un confort d'écoute supérieur comme je l'ai dit plus haut.

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?


Beaucoup d'achat sur la marketplace d'Amazon, même si on a l'inconvénient de ne pas avoir toujours toutes les informations nécessaires sur l'album (éditions limités, bonus-track??). Mais le service qualité d'Amazon est bon, et permet de rembourser en cas de pépin.

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Je sais pas trop... évidemment plus ya d'intermédiaire, plus le prix de l'album semble élevé et la part de l'artiste minime. Sinon j'en sais pas plus.

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

A Rouen, on a Hellion Records, un disquaire spécialisé, mais qui a du mal à survivre malheureusement. Sinon j'achète parfois à a fnac, pour profiter des prix verts à 7euros, sur des AC/DC, des Maiden,... Mais en majorité je passe par Amazon.

3- Le prix.
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?


Les prix des albums en général chez les disquairres sont trop chers, et la Fnac commence peut être à le comprendre, car les promotions style prix verts aujourd'hui deviennent vraiment intéressants.

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Pas plus de 12 euros je pense sur Amazon, sinon j'attends une baisse des prix qui finit par arriver. Sauf pour les groupes et albums moins faciles à trouver, où je monte jusqu'à 15 euros (ça reste rare).

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?


Zéro logique!!

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Pas sur le moment, même si après l'achat je me retrouve bien souvent à refaire mes comptes...

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

Pour l'instant pas de regret. Même si l'album est moins bon que ce que je pensais, je suis content de le posséder, ça permet aussi de comprendre la démarche d'un groupe ou d'un artiste.


16 Juin 2009 7:47
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meft a écrit:

[b]S'ils y en a qui connaissent une boutique avec du choix dans la CUB de Bordeaux, je suis preneur.


Total Heaven, je crois que ça s'appelle
C'est là que vont les copines quand elles sont là-bas.


Dernière édition par Fix le 16 Juin 2009 9:13, édité 1 fois.



16 Juin 2009 9:11
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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

Me sens trentenaire. Les moins de 20 ont l'air de n'avoir rien à foutre (globalement) des objets "disque". Les plus de 45 disent qu'ils n'ont jamais cru au CD (connerie) et que y a que le vinyle qui compte.
J'aime les CD mais je me remets à acheter des vinyles.
Pas de musique sur ordi. Impossible. Je m'embourgeoise : il me faut des enceintes correctes, même si en voiture je prends plaisir à écouter mes disques.
L'artwork ? Jamais fait très attention


Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?


Je pense qu'il va se passer pour le CD ce qui s'est passé pour le vinyle : à la niche.

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

Du point de vue de l'amateur de musique, le disquaire est une évidence, le vrai, pas le vendeur de la fnac. On aurait dû avoir pour ça ce qu'on a pour les librairies, tant pis.
Rennes Musique a fermé, putain les boules. Me suis mis à acheter sur Amazon. Mais Blind Spot a ouvert. C'est pourquoi je rachète du vinyle.
Sur Amazon, je me dis : je veux ça, et je commande. Chez un disquaire, je prends ce qu'il y a et je discute pour savoir s'ils peuvent avoir certains trucs, j'écoute sur place.


Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?


Amazon n'a rien à foutre de petits groupes qui se retrouvent chez Blind Spot parce que les circuits ne sont pas les mêmes.
En fait, c'est comme le bio. Le bio, ça ne s'achète pas chez Leclerc. Au pire, c'est en coop. Mieux c'est au marché ou à la ferme, ou en Amap.
Tiens, la dernière fois j'ai acheté un 45t Shellac/Mule chez les gens gentils.
Je ne vais pas assez à des concerts (Ah les gosses!) pour continuer à acheter direct mais c'était bien (The Ex par exemple).


Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?


[b]BLIND SPOT
32 rue Poullain Duparc
Rennes


3- Le prix.[/b]
Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?


Quand je suis passé à Amazon, je me suis mis à refuser le plus de 15 €. Maintenant je prends des galettes à plus de 20.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Des quotas : 5 disques par mois. En ce moment, c'est 2 chez Blind Spot et 3 sur Amazon. Il m'est arrivé une fois ces 5 dernières années d'en prendre 1 chez Virgin.

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

Oui, souvent. Mais je sais que le temps peut faire son oeuvre. Asva est devenu intéressant hier. Pour certains, c'est jamais.


16 Juin 2009 9:33
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Merci du tuyau, je testerai . 8-)

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16 Juin 2009 21:29
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Tiens, pour une fois c'est moi qui ai la plus longe - réponse.

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En fait ton metal est à mon metal ce que mon café est à ton café.


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longe ? visiblement cela t'a troublé :D

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1- L'objet CD.
Que représente-t-il pour vous ? Est-il indispensable ? La beauté de l'artwork peut-elle influencer (peu ou beaucoup) sur votre approche d'un album ?

Pour moi l'objet CD est indispensable, je télécharge quasiment jamais (sauf quand j'attends de recevoir un album ou quand j'ai un très mauvais a priori sur la musique). Je pense qu'on a une approche différente envers une musique achetée, après j'ai peut-être tort, mais il y a dans le téléchargement un petit côté "faux", dans le sens ou on a pas réellement acquis la musique, qui me dérange.
En ce qui concerne l'artwork, c'est mieux s'il est bien fait, mais je pense pas qu'il influence vraiment mes écoutes. Mais c'est intéressant quand c'est travaillé pour être en rapport avec la musique.

Quel avenir voyez vous pour l'objet ? Aujourd'hui, est-ce encore 'utile' d'en acheter ? Si non, pourquoi, et (brièvement) quelles pourraient être les évolutions dans ce domaine ?

Je pense que l'objet musical est indispensable et qu'il a encore de belles années devant lui. On voit que les ventes de CDs baissent, mais celles des vinyles ont augmenté depuis peu, y'a qu'a voir toutes les rééditions de vinyles qui fleurissent un peu partout, ça montre bien qu'il y a une demande. On voit à travers ça que malgré l'explosion du téléchargement, pas mal de personnes veulent s'attacher à un support musical. On peut aussi voir que les maisons de disques sortent plus d'éditions limitées avec tout plein de bonus à l'intérieur (style le cercueil de Death Magnetic) qui semble se vendre assez bien. Aller dans ce sens me semble une bonne alternative au téléchargement illégal, ça semble attirer du monde.

2- Le lieu d'achat/technique de vente (internet, disquaire, VPC, etc...).
Quel manière d'acheter preférez vous ? Pourquoi ? Laquelle vous semble la meilleure du point de vue du consommateur ?

J'aime parcourir les rayons des magasins pour y trouver un disque à bon prix, le contact direct avec l'objet est quand même agréable. Ca ne m'empêche pas d'acheter sur internet aussi, le choix et certains prix sont tout de même imbattables.

Du point de vue de l'artiste, quels avantages/inconvénients voyez vous pour chacune des techniques de ventes/lieu d'achat ?

Je pense pas que ça change grand chose pour eux, tant qu'un CD est acheté, après tout dépend à qui on veut donner l'argent qui justement ne va pas à l'artiste.

Concernant les disquaires (et toutes les boutiques où on rentre, on paye le CD, on sort avec le CD), quels sont d'après vous les meilleurs à l'heure actuelle (précisez la ville où vous achetez) ?

Je vis aux environs de Paris, pour les CDs je vais surtout à Gibert Joseph, ils ont beaucoup de choix et pas mal d'occasions, je vais aussi souvent à OCD.
Pour les vinyles, je prends quasiment que de l'occasion, donc Gibert Joseph, Boulinier (mais on en trouve rarement en bon état), Crocodisc est une très intéressante boutique aussi, et sinon pour les éditions limitées en tout genre je conseille vivement Rock n'Roll Voltage, près de Saint-Paul, des vendeurs très sympas et beaucoup de choix.


3- Le prix.

Que pensez vous des prix à l'heure actuelle ? Y a-t-il des méthodes où ils sont plus modérés que d'autres ?

Les prix de la fnac et Virgin sont trop prohibitifs et leurs offres qui peuvent être intéressantes trop succinctes. Après pour ce qui n'est pas de la nouveauté il y a plein d'endroits, que ce soit en boutique ou sur internet, pour trouver des disques à bon prix, on a l'embarras du choix, il suffit juste de chercher un peu.

Quel est votre 'prix psychologique' (ce que vous êtes habituellement prêt à mettre) pour un CD ? En fonction de quoi varie-t-il ?

Mon prix psychologique tourne généralement autour de 10 euros quand ça ne concerne pas une nouveauté. J'estime que vendre un album simple qui a plusieurs années plus de 15€ c'est du foutage de gueule, la palme revenant aux albums des beatles, je me souviens avoir vu l'album blanc en "offre spéciale" à 30€ à la fnac :shock:
Ensuite pour les nouveautés je suis prêt à mettre plus de 10€, mais pas trop non plus, d'ailleurs le site play.com propose des tarifs très interessants sur les nouveautés (le heaven & hell avec DVD bonus pour 12€, frais de port offerts, c'est autre chose que l'album à 20€ à la fnac...)
Si le CD est dans un coffret, une édition limitée ça peut monter assez haut suivant l'intérêt que je porte pour l'objet.

4- La logique d'achat.
Suivez vous une logique dans vos achats ? Laquelle ?

En général pour les achats de vinyles je prends les albums que j'adore vraiment, étant donné le côté "classe" du format. Et voir la pochette de ...And Justice For All en grand ça en jette !
Sinon la seule forme de logique que je suis serait celle des concerts, si un groupe qui ouvre pour un autre m'intéresse je vais me pencher sur sa disco, c'est par exemple grâce à Judas Priest que je me suis mis à Testament. Sinon le fait que j'aille au Hellfest m'a permis de me mettre à pas mal de groupes que je connaissais que de nom avant, Mötley Crüe en tête.

Pensez vous 'budget' en allant acheter ou est-ce impulsif, sans considérations pécuniaires ?

Au début j'achetais beaucoup sans réellement compter, ce qui m'a assez vite rattrapé, et maintenant je fais en sorte de plus contrôler mon côté dépensier, donc oui je me limite.

Vous arrive-t-il de regretter un achat ? Des exemples ?

Etant donné que j'aime avoir l'effet de surprise et de découverte à l'achat, il m'est évidemment arrivé de regretter quelques achats, je me souviens avoir pris le dernier In Flames quand il est sorti pour découvrir le groupe, et j'ai vite regretté. Mais ça reste relativement rare, je me renseigne un minimum avant d'acheter en général.

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17 Juin 2009 1:21
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